Il existe, en France et bien d’autres parties du monde, un climat de doute et de questionnement concernant la Bible. Certains pensent qu’elle n’est que parole d’hommes, qu’elle a été falsifiée, qu’on doit s’en méfier. La plupart la méprisent ou pensent que c’est un conte de fée pour adultes.
C’est justement en France que Richard Simon, un érudit, a le plus contribué à l’art de la Haute Critique.
Entre les années 1689 et 1695 il a attaqué par écrit la Parole de Dieu, ce qui a grandement contribué à une perte générale de la foi au christianisme en France.
Depuis, la Bible est entourée d’un halo de préjugés, jugée dangereuse ou tout simplement ignorée.
Cependant la valeur de la Bible comme document historique n’est plus à démontrer. Parmi les sciences historiques, l’archéologie a le plus confirmé la véracité historique des récits bibliques.
On pourrait aussi citer l’extraordinaire rayonnement culturel dont la Bible a été à l’origine au cours des siècles. Notre culture occidentale lui doit ses plus beaux chefs d’œuvre depuis les fresques de Michel Ange, les tympans des cathédrales jusqu’aux plus belles pages de Haydn et JS Bach.
Et puis et surtout, les témoignages de tous ceux dont la lecture et la méditation de la Bible ont changé la vie, des violents devenus pacifiques, des ivrognes devenus sobres, des désespérés ayant retrouvé l’espérance.
Cela ne prouve rien, sans doute … mais, incite tout de même à la réflexion :
Et si c’était vrai ? Si Dieu, véritablement, nous parlait à travers ce livre ? Si, en ouvrant ses pages, on rentrait dans une rencontre avec Dieu lui-même ?
Avant tout, qu’est ce que la Bible ?
C’est un livre unique, voulu de Dieu, inspiré par Lui où sont consignés Ses Paroles et Ses actes pour en instruire l’humanité. C’est une lettre de Dieu aux hommes en quelque sorte. La Bible permet de connaitre Dieu davantage, elle ajoute ce qui manque à la nature et la conscience.
C’est un livre composé de plusieurs livres : 66 exactement : c’est une bibliothèque avec une unité remarquable. Sa rédaction s’échelonne sur 1500 ans (de 1400 Av JC jusqu’à 100 âpres JC) avec 40 auteurs différents.
Les deux testaments sont inséparables, l’Ancien appelle la Nouveau, le Nouveau réalise l’Ancien. Tout l’AT est un type qui s’accomplira dans la vie et la mort de Jésus Christ qui en est le thème central.
Jésus, le Fils de Dieu est venu sur la terre pour sauver l’humanité :
Jean 3 : 16 « Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle. »
La sauver de quoi ? Me direz-vous !
La Bible présente le récit du drame qui met aux prises, d’une part Dieu qui donne son Fils et d’autre part, Satan qui veut dominer l’esprit de l’homme.
L’enjeu de la lutte, c’est l’homme, devenu esclave de Satan, prince de ce monde.
D’abord nous y voyons Dieu : le Créateur, Juste, Saint, Parfait législateur. Il est aussi compatissant, riche en bonté, aimant ses créatures d’un amour absolu.
Ensuite nous voyons Satan, l’archange suprême, qui se rebelle dans le ciel par son fol orgueil. Il ne peut rester au ciel et est précipité sur la terre. Devenu le prince de ce monde, il a fait du genre humain sa victime et le jouet de ses ruses.
Enfin nous y voyons l’homme, créé parfait mais qui a succombé à Satan. Il est maintenant sujet aux faiblesses, aux vices, à la culpabilité. Mais il a aussi ses aspirations, sa dignité, sa noblesse. La Bible l’abaisse au plus haut point mais l’élève aussi très haut.
Il a la possibilité de saisir la main tendue de Dieu pour prendre un nouveau départ et connaitre, par la puissance de l’Esprit, une régénération à l’image de Dieu.
La Bible nous présente des centaines d’hommes qui défilent, comme dans une majestueuse galerie et apparaissent tels qu’ils sont avec leurs fautes, leurs petitesses et leurs relèvements.
La Bible c’est aussi des genres littéraires forts divers :
- Loi (Exode 20)
- Documentaire (Généalogie
- Lettre (épitres de Paul)
- Journal (Actes des Apôtres)
- Epopée (Josué)
- Parabole (Mat 13)
- Récit (Les Evangiles)
- Poèmes (Psaumes
- Oracle prophétique (allégorie Essaie 5)
- Genre apocalyptique (Es 28, Zacharie, Apocalypse)
La Bible est la parole inspirée de Dieu. Mais qu’est ce que l’inspiration ?
Dieu parle par ses prophètes : « Ainsi parle l’Eternel ». Les prophètes affirment que leur parole vient de Dieu. Dieu leur demande d’écrire le message afin que le souvenir s’en conserve.
Ex 17 : 14 « L’Eternel dit à Moïse: Ecris cela dans le livre, pour que le souvenir s’en conserve,»
Ils se sentent poussés par une nécessité impérieuse, une puissance intérieure plus forte que la raison à dire et écrire le message reçu de Dieu,
Jer 20 : 9 « Si je dis: Je ne ferai plus mention de lui, Je ne parlerai plus en son nom, Il y a dans mon cœur comme un feu dévorant Qui est renfermé dans mes os. Je m’efforce de le contenir, et je ne le puis. »
Dans 2 Pierre 1 : 20-21 « sachant tout d’abord vous-mêmes qu’aucune prophétie de l’Ecriture ne peut être un objet d’interprétation particulière, car ce n’est pas par une volonté d’homme qu’une prophétie a jamais été apportée, mais c’est poussés par le Saint-Esprit que des hommes ont parlé de la part de Dieu. »
L’apôtre fait allusion à la même nécessité, la même puissance qui le pousse à parler. Mystère de l’union du divin et de l’humain !
L’inspiration de la Parole de Dieu remise en question est un signe des derniers jours. Cependant le Saint livre a résisté à tous les assauts de Satan qui, en collaborant avec des hommes mal intentionnés, a tout fait pour entourer tout ce qui est divin, de ténèbres et d’ombres. Mais Dieu a préservé ce Saint livre par son pouvoir miraculeux et il est pour la famille humaine un guide pour lui montrer le chemin vers le ciel.
L’inspiration est ainsi exprimée par cet auteur :
« La Bible a été écrite par des écrivains obligés de s’exprimer en un langage humain. C’étaient des hommes. Ils étaient inspirés par le Saint-Esprit.». {MC1 22.1}
« Au lieu d’avoir été données aux hommes en une suite ininterrompue de déclarations, les Ecritures se sont enrichies pièce par pièce au cours de générations successives, chaque fois que la Providence divine jugeait utile de parler aux hommes en divers temps et en divers lieux. Les auteurs ont écrit selon qu’ils étaient mus par le Saint-Esprit.» {MC1 22.2}
« La Bible ne nous a pas été donnée en un langage surhumain. Pour atteindre l’homme, Jésus a revêtu l’humanité. La Bible a dû être donnée en un langage humain. Or tout ce qui est humain est imparfait. Un mot peut avoir plusieurs significations; on ne trouve pas toujours un mot distinct pour exprimer une idée. La Bible se propose un but essentiellement pratique. » {MC1 23.1}
« La Bible a été écrite par des hommes inspirés, mais ils n’ont pas employé un langage divin. Ils ont parlé le langage humain. Ce n’est pas Dieu qui a été l’écrivain. On dira souvent que telle expression ne sied pas à Dieu. Mais Dieu ne s’est pas exposé à notre jugement dans la Bible par des mots, de la logique ou de la rhétorique. Les écrivains de la Bible ont été les hommes de plume, non la plume même de Dieu. » {MC1 24.1}
« Ce ne sont pas les mots de la Bible qui sont inspirés; ce sont les hommes. L’inspiration agit non pas sur les mots ou les expressions, mais sur l’auteur lui-même, à qui le Saint-Esprit communique des pensées. Quant aux mots, ils portent l’empreinte de l’individualité. L’Esprit divin se répand. Il s’unit à l’esprit de l’homme, si bien que les déclarations de l’homme sont la Parole de Dieu. » {MC1 24.2}
Ainsi, Dieu est l’auteur de l’Ecriture. L’écrivain, lui, demeure l’auteur de ce qu’il écrit, c’est lui qui, guidé et inspiré par Dieu, choisit la forme la plus propre à traduire son message : poésie, s’il est poète (Esaie, Jérémie, Psaumes); s’il est méthodique et juridique, il écrira comme Moise et s’il a l’esprit dialectique, il écrira comme Paul avec une logique irréfutable.
Dieu a requis la participation des hommes pour recevoir le message qu’il voulait transmettre, pour le conserver et le diffuser. C’était pendant longtemps le rôle du peuple Juif rappelle Paul, que d’être le dépositaire des « oracles de Dieu »
Ce peuple s’est acquitté fidèlement de cette tâche recopiant, conservant avec soin toutes ces paroles. L’église chrétienne, elle, conserva, recopia et diffusa le précieux dépôt qui lui avait été confié et y ajouta les Evangiles et les épitres des apôtres.
2 Timothée 3 : 16-17 «Toute Ecriture est inspirée de Dieu, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice, afin que l’homme de Dieu soit accompli et propre à toute bonne œuvre. »
Ces saintes lettres, cette Bible, véhicule privilégié de la Parole de Dieu, doivent constituer la base de toutes les doctrines que l’Eglise propose aux croyants. C’est en examinant avec soin ses enseignements que l’on peut reconnaitre ce qui vient de Dieu de ce qui n’en vient pas.
Ce n’est pas la Parole des hommes :
1 Thes 2 : 13 « C’est pourquoi nous rendons continuellement grâces à Dieu de ce qu’en recevant la parole de Dieu, que nous vous avons fait entendre, vous l’avez reçue, non comme la parole des hommes, mais, ainsi qu’elle l’est véritablement, comme la parole de Dieu, qui agit en vous qui croyez. »
Elle est toute entière une puissance pour le salut de quiconque croit (Rom 1 : 16) ; elle transforme l’être humain en lui révélant ce qu’il est réellement derrière son masque d’orgueil ou de légèreté. Un pauvre clown malheureux qui se grise de mots, de travail ou de plaisirs pour ne pas avoir à se regarder en face parce qu’il a peur de lui-même.
« Les pierres crieront… »
Après avoir parlé de l’inspiration de la Bible, abordons la question de sa véracité. La Bible a subi de perfides assauts par l’école de la « Haute critique » au XIX siècle. Certains récits historiques étaient jugés peu dignes de créance car l’histoire profane ne les mentionne pas. On les a qualifiés de légendes. Cependant de tous les documents scripturaires relatifs à l’antiquité, la Bible et surtout l’AT est indiscutablement le plus important. Elle est seule, d’ailleurs, à rapporter un certain nombre de faits.
C’est la science, elle même, qui est venue au secours de la Bible : l’archéologie a fait réapparaitre des mondes ensevelis, des civilisations millénaires dont parlaient les documents anciens et particulièrement les récits bibliques.
Voyons quelques exemples :
Comment Moise et la XVIII dynastie d’Egypte s’insèrent dans la Bible et la prophétie ?
Voici comment l’archéologie égyptienne prouve l’histoire biblique de l’Exode.
Ex 1 : 8 « Il s’éleva sur l’Egypte un nouveau roi, qui n’avait point connu Joseph. »
Ce pharaon s’appelle Touthmôsis III. C’était un fils illégitime de Hatshepsout la mère adoptive de Moise. Il a fait assassiner sa mère pour parvenir au pouvoir. On l’a appelé le Napoléon de l’histoire égyptienne.
En 1450 AV JC Dieu envoie Moise vers Touthmôsis III pour qu’il laisse aller son peuple d’Egypte. Voici la réponse de cet orgueilleux monarque :
Ex 5 : 2 « Pharaon répondit: Qui est l’Eternel, pour que j’obéisse à sa voix, en laissant aller Israël? Je ne connais point l’Eternel, et je ne laisserai point aller Israël. »
Alors Dieu n’a pas eu d’autres moyens que d’envoyer 10 plaies sur l’Egypte et là Il révéla sa supériorité sur les dieux égyptiens. Le plus grand miracle eut lieu quand Dieu conduisit 2 millions de personnes devant la Mer Rouge. D’après 1R 6 : 1 cette traversée miraculeuse eut lieu en 1450 BC. On a calculé que c’était 3 jours après le 14 jour de Nisan ou 17 Mars 1450. Quand les égyptiens réalisèrent qu’ils avaient perdu leurs esclaves ils se mirent à les poursuivre.
D’après Exode 14:26-28 « L’Eternel dit à Moïse: Etends ta main sur la mer; et les eaux reviendront sur les Egyptiens, sur leurs chars et sur leurs cavaliers. Moïse étendit sa main sur la mer. Et vers le matin, la mer reprit son impétuosité, et les Egyptiens s’enfuirent à son approche; mais l’Eternel précipita les Egyptiens au milieu de la mer. Les eaux revinrent, et couvrirent les chars, les cavaliers et toute l’armée de Pharaon, qui étaient entrés dans la mer après les enfants d’Israël; et il n’en échappa pas un seul. »
L’histoire de l’Exode n’est pas rapportée dans les annales égyptiennes, pourquoi ? Parce que les défaites n’étaient pas consignées dans leurs annales historiques mais l’archéologie a trouvé que le pharaon est mort le 17 mars 1450 justement : il s’agit de Touthmôsis III. C’est un historien égyptien qui a converti la date de la mort du pharaon dans notre calendrier et devinez quoi ! Il est mort le 17 mars 1450. Exactement la date biblique de la traversée de la mer Rouge.
Ce passage de l’exode n’est pas un mythe mais un fait historique.
Jonas et Ninive
Chaque fois qu’un empire s’est attaqué au peuple de Dieu pour le détruire, cet empire a été appelé à disparaitre : ce fut le cas de l’Egypte. Maintenant l’Assyrie avec Assurbanipal est appelé à disparaitre. Le prophète biblique Sophonie avait annoncé sa destruction en :
Soph 2 : 13-15 « Il étendra sa main sur le septentrion, Il détruira l’Assyrie, Et il fera de Ninive une solitude, Une terre aride comme le désert. Des troupeaux se coucheront au milieu d’elle, Des animaux de toute espèce; Le pélican et le hérisson Habiteront parmi les chapiteaux de ses colonnes; Des cris retentiront aux fenêtres; La dévastation sera sur le seuil, Car les lambris de cèdre seront arrachés. Voilà donc cette ville joyeuse, Qui s’assied avec assurance, Et qui dit en son cœur: Moi, et rien que moi! Eh quoi! Elle est en ruines, C’est un repaire pour les bêtes! Tous ceux qui passeront près d’elle Siffleront et agiteront la main. »
Les ruines d’Assur, de Ninive attestent de l’exactitude de la prophétie biblique. Dieu voulait-il détruire cet empire ? Non, il a envoyé Jonas à Ninive pour l’avertir de la destruction prochaine de la ville à cause de sa cruauté. Jonas ne veut pas y aller et l’on peut comprendre son hésitation vue la cruauté de ce peuple.
Jonas 3 : 8-9 «Que les hommes et les bêtes soient couverts de sacs, qu’ils crient à Dieu avec force, et qu’ils reviennent tous de leur mauvaise voie et des actes de violence dont leurs mains sont coupables! Qui sait si Dieu ne reviendra pas et ne se repentira pas, et s’il ne renoncera pas à son ardente colère, en sorte que nous ne périssions point? »
Quand Dieu vit cela verset 10 : « Dieu vit qu’ils agissaient ainsi et qu’ils revenaient de leur mauvaise voie. Alors Dieu se repentit du mal qu’il avait résolu de leur faire, et il ne le fit pas. »
Il eut compassion. On a retrouvé le nom du roi qui a écouté et s’est repenti, il s’agit d’Adadniari III
L’archéologie peut-elle prouver ce miracle de conversion ? Et bien oui, les annales assyriennes le confirment.
Autres découvertes
La Bible seule, fait mention de certains peuples comme les Hittites. Aucun document profane n’en parle. C’était un peuple puissant et guerrier. Les archéologues ont découvert dans les murs de Karnak une allusion aux Hittites, à l’époque du pharaon Ramsès II qui épousa la fille d’un roi Hittite pour s’assurer la paix avec lui. D’autres fouilles en Cappadoce ont permis depuis de reconstituer partiellement leur histoire.
On a retrouvé Ur en Chaldée, ville natale d’Abram et le palais du roi Sargon II qui avait été ignoré par les documents profanes mais que la Bible mentionne. Il s’était emparé de Samarie :
Es 20 : 1 « L’année où Tharthan, envoyé par Sargon, roi d’Assyrie, vint assiéger Asdod et s’en empara, »
Le berger bédouin Mohammed Dib découvrit en 1947 en cherchant son mouton une caverne située au nord de la mer Morte, à 12 km au sud de Jéricho. A l’intérieur des jarres et des rouleaux de cuir couverts d’écriture et de nombreux fragments de manuscrits. Le rouleau le mieux conservé et le plus important, long de 7.34 m contient le texte du livre d’Esaie. Ce sont les fameux Manuscrits de la Mer Morte. Ils ont permis de retrouver des copies très anciennes des textes bibliques datant du 4ème siècle et du 2ème siècle avant notre ère alors que jusqu’alors on disposait de copies du 9ème et 10ème siècle de notre ère.
Des prédictions réalisées
La Bible contient plus de 1000 prophéties dont environ 800 ce sont déjà accomplies. Toutes ces prédictions prouvent que Dieu seul connait l’avenir et qu’Il a révélé de nombreux secrets à ses serviteurs les prophètes. Ceux-ci ont consigné ces oracles dans la Bible dont nous savons qu’elle est divinement inspirée.
Prenons un exemple parmi des centaines : le drame des Juifs.
L’existence séculaire des Juifs est un mystère. Qu’on y songe : chassé de ses terres pendant 19 siècles, sans patrie, persécuté sans relâche, haï sans pitié, exilé de contrée en contrée, le peuple juif ne cesse de se continuer, ne peut se résoudre à disparaitre. Cette destinée exceptionnelle a été prédite par les prophètes bibliques. Moise, 1350 ans avant JC avait annoncé :
Deutéronome 28:64-65 « L’Eternel te dispersera parmi tous les peuples, d’une extrémité de la terre à l’autre; et là, tu serviras d’autres dieux que n’ont connus ni toi, ni tes pères, du bois et de la pierre. Parmi ces nations, tu ne seras pas tranquille, et tu n’auras pas un lieu de repos pour la plante de tes pieds. L’Eternel rendra ton cœur agité, tes yeux languissants, ton âme souffrante. »
Huit siècles avant JC, le prophète Osée avait prédit :
Os 8 : 8 « Israël est anéanti! Ils sont maintenant parmi les nations Comme un vase qui n’a pas de prix. »
9 : 17 « Mon Dieu les rejettera, parce qu’ils ne l’ont pas écouté, Et ils seront errants parmi les nations. »
Jésus christ lui-même donna à leur sujet la prédiction suivante :
Luc 21 : 24 « Ils tomberont sous le tranchant de l’épée, ils seront emmenés captifs parmi toutes les nations, et Jérusalem sera foulée aux pieds par les nations, jusqu’à ce que les temps des nations soient accomplis. »
Jérusalem connut un destin tragique : de nombreuses nations l’ont littéralement foulée aux pieds : les Romains, les Grecs, les Arabes, les Chrétiens.
Son influence sur les cœurs
La Bible est la Parole de Dieu. La meilleure preuve en est peut être la puissance transformatrice et mystérieuse du message qu’elle porte.
Elle est véritablement « une puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit » Rom 1 : 16
Elle est l’instrument par lequel le Saint Esprit opère dans le cœur la nouvelle naissance. Elle enseigne, convainc, corrige et instruit dans la justice.
Elle est aussi une source de consolation et elle accorde une valeur très élevée à l’être humain.
Sa conservation
Mais peut-on être sûr que la Bible n’a pas été modifiée au cours des siècles ?
Nous n’avons pas de doutes à ce sujet. Dieu lui-même, a présidé à la formation du Canon des 2 Testaments et a veillé à leur parfaite conservation. Des siècles de vicissitudes, de tribulation, d’attaques et de critiques passionnées n’ont pas ébranlé la Parole de Dieu. Des groupes des croyants persécutés l’ont conservée, recopiée, traduite et elle a résisté. On l’a brûlée publiquement, enchainée dans les couvents mais elle ne s’est point éteinte.
La Bible est éternelle. Elle est la Parole de Dieu !
Résumons :
- La Bible est la Parole de Dieu, écrite par les hommes mais inspirée par Dieu
- L’archéologie moderne confirme comme des faits historiques certains récits bibliques considérés jusqu’à là comme des légendes
- L’accomplissement précis des prophéties bibliques données des siècles à l’avance constitue un élément irréfutable de son inspiration par une sagesse hors du temps et de l’espace
- Le témoignage de vies transformées par sa puissance est un de faits le plus indéniable de son origine divine
- Aucune puissance terrestre n’a réussi à faire disparaitre le récit sacré, malgré toutes les persécutions dont elle a été l’objet
- C’est le « Best seller » de tous les temps, le livre le plus traduit au monde
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